5 octobre 2008
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Ça y est ! J'ai vu ou/et parlé avec tous les miens neveux et nièces...
Celle qui a permis cela au départ ne me donne plus de nouvelles, occupée sans doute par son arrivée dans la grande capitale et ses études.
Celui qui tricote sa famille, m'a mise en relation avec son frère, l'aîné dont je ne savais rien.
Et, mardi soir, le miracle a eu lieu.
Nous avons commencé sur Messenger et continué au téléphone.
Quel chamboulement affectif... Tous les souvenirs qui reviennent.
Des Saintes Maries de la Mer où je l'ai gardé, bébé, de sa famille maternelle que j'ai connue.
De son père, mon frère que j'aime par dessus tout, même si nos retrouvailles ne se sont pas faites alors que je suis allée chez lui.
L'amour est sans condition, aucune, sinon c'est autre chose.
Malgré tout j'ai toujours un moment de presque panique quand je retrouve l'un d'entre eux... Après coup...
Hier soir j'ai passé quelques heures au bord de cette crise que j'ai fini par maîtriser, maux d'estomac, palpitations, sueurs, peurs...
Je me raisonnais, seule avec mon chat.
Ce chat, merveilleux compagnon dans son genre ! Dès qu'une douleur un tant soit peu violente s'empare de mon corps il s'allonge exactement à l'endroit en détresse.
Une amie homéopathe m'a dit que les chats repéraient les endroits distroys et les soignent.
Mystère.
Les déferlantes se sont espacées, j'ai maintenu ma respiration à un rythme calme, rallumé la lampe afin de reculer les ténèbres.
Mes pensées se sont apaisées.
J'ai repris mon livre de SF fantaisy et puis me suis endormie.... Enfin.
Je ne voulais pas finir à l'hôpital comme cela m'est arrivé si souvent, tous les indicateurs dans le rouge.
A 8 heures ce matin j'ai entendu la porte s'ouvrir, F'red, mon nomade arrivait.
Il avait passé la nuit avec une copine qui devait aller à l'hôpital tôt ce matin et qui angoissait !
Nuit d'insomnie pour lui pour calmer son amie.
Quelle famille !
Celle qui a permis cela au départ ne me donne plus de nouvelles, occupée sans doute par son arrivée dans la grande capitale et ses études.
Celui qui tricote sa famille, m'a mise en relation avec son frère, l'aîné dont je ne savais rien.
Et, mardi soir, le miracle a eu lieu.
Nous avons commencé sur Messenger et continué au téléphone.
Quel chamboulement affectif... Tous les souvenirs qui reviennent.
Des Saintes Maries de la Mer où je l'ai gardé, bébé, de sa famille maternelle que j'ai connue.
De son père, mon frère que j'aime par dessus tout, même si nos retrouvailles ne se sont pas faites alors que je suis allée chez lui.
L'amour est sans condition, aucune, sinon c'est autre chose.
Malgré tout j'ai toujours un moment de presque panique quand je retrouve l'un d'entre eux... Après coup...
Hier soir j'ai passé quelques heures au bord de cette crise que j'ai fini par maîtriser, maux d'estomac, palpitations, sueurs, peurs...
Je me raisonnais, seule avec mon chat.
Ce chat, merveilleux compagnon dans son genre ! Dès qu'une douleur un tant soit peu violente s'empare de mon corps il s'allonge exactement à l'endroit en détresse.
Une amie homéopathe m'a dit que les chats repéraient les endroits distroys et les soignent.
Mystère.
Les déferlantes se sont espacées, j'ai maintenu ma respiration à un rythme calme, rallumé la lampe afin de reculer les ténèbres.
Mes pensées se sont apaisées.
J'ai repris mon livre de SF fantaisy et puis me suis endormie.... Enfin.
Je ne voulais pas finir à l'hôpital comme cela m'est arrivé si souvent, tous les indicateurs dans le rouge.
A 8 heures ce matin j'ai entendu la porte s'ouvrir, F'red, mon nomade arrivait.
Il avait passé la nuit avec une copine qui devait aller à l'hôpital tôt ce matin et qui angoissait !
Nuit d'insomnie pour lui pour calmer son amie.
Quelle famille !